J'ai donc abandonné les disques démaquillants et autres cotons blanchis au chlore et traités avec certainement beaucoup d'autres choses pas super super bonnes ni pour nous ni pour notre planète, sans même parler des OGM, contre leur version bio et lavable!
Débarbouillettes en bambou que j'utilise sans scrupules dans toute les occasions où je sortais le rouleau d’essuie-tout (y compris pour absorber l'huile de friture!). |
Carrés en coton bio et molleton de coton bio |
J'ai commandé:
-30 carrés démaquillants
-15 débarbouillettes (remplaçants du sopalin)
Les disques démaquillants, j'en ai plus que de reste, si c’était à refaire je n'en achèterais que 20.
Les débarbouillettes c'est le nombre parfait. Je n'en ai jamais manquées, et je n'en ai pas de trop non plus.
Souvent on me demande si le maquillage et tout partent bien après lavage. Il est vrai que mes disques démaquillants ne ressortent pas complètement blancs à la sortie du lave linge, et que il reste des fois des tâches sur les débarbouillettes si je n'ai pas pris soins de les détacher avant le lavage. Mais il faut dire aussi que je ne cherche pas à les avoir "comme neuf" et ne passe pas du temps pour faire "tout" partir. Ils sont fait pour ça, et le fait qu'il y est du noir sur mes cotons ou une tâche de fraise sur mes débarbouillettes ne les empêche pas d’être propres et de sentir bon après lavage. Bon évidemment suivant les tâches (du sang par exemple), je vais pré-laver les cotons en questions...
Je procédé à un décrassage 2 fois par ans (et là je fais en sorte de faire partir le plus de choses possibles) - préconisé par le fournisseur de mes cotons/débarbouillettes.
En dehors du décrassage, je lave mes cotons et mes essuies-tout à 40, dans leur filet, pour essayer de prolonger un max leur durée de vie... Le décrassage je le fais à 60, avec pré-détachage au savon de Marseille. Dans les 2 cas, séchage à l'air libre.
J'ai commandé mes produits aux Tendances D'Emma. J'aime son approche, ses produits de qualité ainsi que la production en France par des détenus. Tout comme Emma, je suis aussi "persuadée qu'une succession de petits riens peuvent faire de grands touts. Que nous sommes tous acteurs de notre société et que c'est nos actions au quotidien qui en feront ce qu'elle en deviendra" (source)
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